295Livres, 854 Critiques. George Sand est une femme de lettres française. Faisant scandale par sa vie amoureuse agitĂ©e et par ses tenues vestimentaires masculines, elle adopte un pseudonyme masculin dĂšs 1829. George Sand est ‎ 1837 Paris, FĂ©lix Bonnaire, 1837. Deux volumes in-8 146 X 227 demi-maroquin noir Ă  grain long et Ă  petits coins, dos lisse composĂ© de deux grands compartiments entiĂšrement ornĂ©s de fers dorĂ©s Ă  dĂ©cor de rocaille et d'un petit compartiment central contenant auteur, titre et tomaison dorĂ©s, plats et dos petits manques aux dos de la couverture conservĂ©s BERNASCONI. Tome I faux-titre, titre, 422 pages ; Tome II faux-titre, titre, 414 pages.‎ Reference 003053 ‎ÉDITION ORIGINALE de cet ouvrage important et recherchĂ© », selon Carteret. RARISSIME EXEMPLAIRE IMPRIMÉ SUR VERGÉ FORT DE HOLLANDE, tirage de luxe inconnu des bibliographies spĂ©cialisĂ©es. Ce papier est plus Ă©pais que celui du tirage courant, Ă©galement imprimĂ© sur papier vergĂ©. Seul Georges Vicaire Ă©voque ce papier de Hollande, Ă  propos de l'exemplaire des "Oeuvres ComplĂštes" de George et Maurice Sand, rĂ©fĂ©rencĂ© sous le numĂ©ro 769 du catalogue de leur bibliothĂšque, et qui est annoncĂ© sur papier de Hollande ». Ces deux volumes des "Lettres d'un voyageur" composent en effet les tomes XV et XVI des "Oeuvres ComplĂštes" publiĂ©es par FĂ©lix Bonnaire et qui comptent 27 tomes. Clouzot Ă©crit, Ă  propos de cette Ă©dition parue de 1837 Ă  1842 Édition trĂšs rare complĂšte et des plus importantes. En effet de nombreuses oeuvres y paraissent pour la premiĂšre fois. Il a Ă©tĂ© tirĂ© fort probablement quelques vĂ©lin fort de chacun de ces volumes ». Carteret reproduit Ă  pleine page la couverture bleu ciel avec encadrement de dentelle de cet ouvrage, mais n'Ă©voque aucun grand papier pour cette Ă©dition. VICAIRE, T. VII, pp. 302/303 et 305/306 - CLOUZOT, pp. 243 et 250 - CARTERET, II, pp. 307 et 318. ComposĂ©s de douze lettres, datĂ©es du 15 mai 1834 au 29 mai 1836, ces rĂ©cits constituent un singulier recueil, inclassable tant il est divers, rassemblant des lettres qui sont aussi des fragments de journal intime, des rĂ©cits de voyage, des essais d'esthĂ©tique, de politique et de morale. On sait que les trois premiĂšres lettres, Ă©crites Ă  Venise aprĂšs le dĂ©part d'Alfred de Musset, ont Ă©tĂ© inspirĂ©es par la relation orageuse de George Sand avec ce dernier, lors de leur voyage en Italie en 1833-34. Alfred de Musset s’inspirera de cette liaison pour Ă©crire son unique roman, "La Confession d'un enfant du siĂšcle", qu’il publiera en 1836. La septiĂšme lettre est adressĂ©e Ă  Franz Liszt. BEL EXEMPLAIRE non rognĂ©, soigneusement lavĂ© et encollĂ©, avec les plats des fragiles couvertures bleu ciel en parfait Ă©tat, prĂ©sentĂ© dans une Ă©lĂ©gante reliure romantique Ă  l'imitation de BERNASCONI. FINE COPY. PICTURES AND MORE DETAILS ON REQUEST. ‎ €5, €5, Bookseller's contact details Librairie ancienne & Moderne Eric CastĂ©ranM. Eric CastĂ©ran26, rue du Taur31000 Toulouse France contact 06 21 78 12 79 Contact bookseller Payment mode Sale conditions Conditions de vente conformes aux usages du Syndicat de la Librairie Ancienne et Moderne et de la de la Ligue Internationale des Libraires de livres Anciens LILA. Les livres sont garantis complets et en bon Ă©tat sauf mention contraire. L’envoi des ouvrages par la Poste est en sus. Un envoi prioritaire en recommandĂ© est d’environ 8 euros pour la France, 15 euros pour l’Europe et 20 euros pour les USA. Ce tarif est basĂ© sur celui d'un livre pesant 1 kilogramme. Si le livre commandĂ© dĂ©passe ce poids nous pouvons ĂȘtre amenĂ© Ă  vous contacter pour vous signaler le prix du supplĂ©ment de port. Terms of sale according to International League of Antiquarian Bookseller's rules. Books are guaranteed to be complete and in good condition unless otherwise stated. Postage at cost is extra. Priority and registred mail about 8 Euros for France, 15 Euros for Europe, 20 Euros for USA. Shipping costs are based on books weighing 2. 2 LB, or 1 KG. If your book order is heavy or oversized, we may contact you to let you know extra shipping is required.
Alfredde Musset (fþdt 11. december 1810 i Paris, dþd 2. maj 1857 sammesteds) var en fransk forfatter, der regnes for en af de betydningsfulde forfattere i den franske romantik. Uddannelse og tidlig karriere. Han tilhþrte en gammel adelig slégt og var sþn af en forfatter – der bl.a. havde udgivet en levnedsbeskrivelse af Rousseau – gik i College Henri IV, studerede lidt medicin og
BenoĂźt Magimel Alfred de Musset et Juliette Binoche George Sand dans Les Enfants du siĂšcle 1999. Indiana est le premier roman de George Sand. Son hĂ©roĂŻne Ă©ponyme est une jeune femme de dix-neuf ans, mariĂ©e Ă  un vieux militaire Ă  la retraite incapable de l’aimer. Indiana dĂ©pĂ©rit lentement. Sa fragile beautĂ© et son innocence font chavirer le coeur du fougueux Raymon de RamiĂšre. Ce dernier n’hĂ©site pas Ă  braver les convenances, et la colĂšre du mari, le Colonel Delmare. Dans cette scĂšne trĂšs romantique, il s’introduit chez la tante d’Indiana, partie Ă  un bal sans sa niĂšce,qui est apparemment souffrante. En vĂ©ritĂ©, Indiana a feint d’ĂȘtre indisposĂ©e afin d’éviter de rencontrer Raymon
 Raymon entre sans se faire annoncer. Indiana a le dos tournĂ© Ă  la porte, elle regarde tristement brĂ»ler les tisons. Raymond approche sans bruit sur le tapis sourds et moelleux. Il la voit pleurer. Lorsqu’elle tourne la tĂȘte, elle le trouve Ă  ses pieds, s’emparant avec force de ses mains, qu’elle s’efforce en vain de lui retirer. RAYMON Indiana, vous pleurez
 Pourquoi pleurez-vous ?
 Je veux le savoir. INDIANA Pourquoi le demandez-vous ? Je ne dois pas vous le dire
 RAYMON Eh bien, moi, je le sais, Indiana. Je sais toute votre histoire, toute votre vie. Rien de ce qui vous concerne ne m’est Ă©tranger, parce que rien de ce qui vous concerne ne m’est indiffĂ©rent. J’ai voulu tout connaĂźtre de vous, et je n’ai rien appris que ne m’eĂ»t rĂ©vĂ©lĂ© un instant passĂ© chez vous, lorsqu’on m’apporta tout sanglant, tout brisĂ© Ă  vos pieds, et que votre mari s’irrita de vous voir, si belle et si bonne, me faire un appui de vos bras mƓlleux, un baume de votre douce haleine. Lui, jaloux ! oh ! je le conçois bien ; Ă  sa place, je le serais, Indiana ; ou plutĂŽt, Ă  sa place, je me tuerais ; car, ĂȘtre votre Ă©poux, madame, vous possĂ©der, vous tenir dans ses bras, et ne pas vous mĂ©riter, n’avoir pas votre cƓur, c’est ĂȘtre le plus misĂ©rable ou le plus lĂąche des hommes. INDIANA, lui met la main sur la bouche Ô ciel ! taisez-vous, taisez-vous, car vous me rendez coupable. Pourquoi me parlez-vous de lui ? pourquoi voulez-vous m’enseigner Ă  le maudire ?
 S’il vous entendait !
 Mais je n’ai pas dit de mal de lui ; ce n’est pas moi qui vous autorise Ă  ce crime ! moi, je ne le hais pas, je l’estime je l’aime !
 RAYMON Dites que vous le craignez horriblement ; car le despote a brisĂ© votre Ăąme, et la peur s’est assise Ă  votre chevet depuis que vous ĂȘtes devenue la proie de cet homme. Vous, Indiana, profanĂ©e Ă  ce rustre dont la main de fer a courbĂ© votre tĂȘte et flĂ©tri votre vie ! Pauvre enfant ! si jeune et si belle, avoir dĂ©jĂ  tant souffert !
 car ce n’est pas moi que vous tromperiez, Indiana ; moi qui vous regarde avec d’autres yeux que ceux de la foule, je sais tous les secrets de votre destinĂ©e, et vous ne pouvez pas espĂ©rer vous cacher de moi. Que ceux qui vous regardent parce que vous ĂȘtes belle disent en remarquant votre pĂąleur et votre mĂ©lancolie Elle est malade
 », Ă  la bonne heure ; mais, moi qui vous suis avec mon cƓur, moi dont l’ñme tout entiĂšre vous entoure de sollicitude et d’amour, je connais bien votre mal. Je sais bien que, si le ciel l’eĂ»t voulu, s’il vous eĂ»t donnĂ©e Ă  moi, Ă  moi malheureux qui devrais me briser la tĂȘte d’ĂȘtre venu si tard, vous ne seriez pas malade. Indiana, moi, j’en jure sur ma vie, je vous aurais tant aimĂ©e, que vous m’auriez aimĂ© aussi, et que vous auriez bĂ©ni votre chaĂźne. Je vous aurais portĂ©e dans mes bras pour empĂȘcher vos pieds de se blesser ; je les aurais rĂ©chauffĂ©s de mon haleine. Je vous aurais appuyĂ©e contre mon cƓur pour vous prĂ©server de souffrir. J’aurais donnĂ© tout mon sang pour rĂ©parer le vĂŽtre, et, si vous aviez perdu le sommeil avec moi, j’aurais passĂ© la nuit Ă  vous dire de douces paroles, Ă  vous sourire pour vous rendre le courage, tout en pleurant de vous voir souffrir. Quand le sommeil serait venu se glisser sur vos paupiĂšres de soie, je les aurais effleurĂ©es de mes lĂšvres pour les clore plus doucement, et, Ă  genoux prĂšs de votre lit, j’aurais veillĂ© sur vous. J’aurais forcĂ© l’air Ă  vous caresser lĂ©gĂšrement, les songes dorĂ©s Ă  vous jeter des fleurs. J’aurais baisĂ© sans bruit les tresses de vos cheveux, j’aurais comptĂ© avec voluptĂ© les palpitations de votre sein, et, Ă  votre rĂ©veil, Indiana, vous m’eussiez trouvĂ© lĂ , Ă  vos pieds, vous gardant en maĂźtre jaloux, vous servant en esclave, Ă©piant votre premier sourire, m’emparant de votre premiĂšre pensĂ©e, de votre premier regard, de votre premier baiser
 INDIANA Assez, assez ! Ne me parlez pas ainsi, Ă  moi qui ne dois pas ĂȘtre heureuse ; ne me montrez pas le ciel sur la terre, Ă  moi qui suis marquĂ©e pour mourir. RAYMON Pour mourir ! Il la saisit dans ses bras. Toi, mourir ! Indiana ! mourir avant d’avoir vĂ©cu, avant d’avoir aimĂ© !
 Non, tu ne mourras pas ; ce n’est pas moi qui te laisserai mourir ; car ma vie maintenant est liĂ©e Ă  la tienne. Tu es la femme que j’avais rĂȘvĂ©e, la puretĂ© que j’adorais ; la chimĂšre qui m’avait toujours fui, l’étoile brillante qui luisait devant moi pour me dire Marche encore dans cette vie de misĂšre, et le ciel t’enverra un de ses anges pour t’accompagner. » De tout temps, tu m’étais destinĂ©e, ton Ăąme Ă©tait fiancĂ©e Ă  la mienne, Indiana ! Les hommes et leurs lois de fer ont disposĂ© de toi ; ils m’ont arrachĂ© la compagne que Dieu m’eĂ»t choisie, si Dieu n’oubliait parfois ses promesses. Mais que nous importent les hommes et les lois, si je t’aime encore aux bras d’un autre, si tu peux encore m’aimer, maudit et malheureux comme je suis de t’avoir perdue ! Vois-tu, Indiana, tu m’appartiens, tu es la moitiĂ© de mon Ăąme, qui cherchait depuis longtemps Ă  rejoindre l’autre. Quand tu rĂȘvais d’un ami Ă  l’üle Bourbon, c’était de moi que tu rĂȘvais ; quand, au nom d’époux, un doux frisson de crainte et d’espoir passait dans ton Ăąme, c’est que je devais ĂȘtre ton Ă©poux. Ne me reconnais-tu pas ? ne te semble-t-il pas qu’il y a vingt ans que nous ne nous sommes vus ? Ne t’ai-je pas reconnu, ange, lorsque tu Ă©tanchais mon sang avec ton voile, lorsque tu plaçais ta main sur mon cƓur Ă©teint pour y ramener la chaleur et la vie ? Ah ! je m’en souviens bien, moi. Quand j’ouvris les yeux, je me dis La voilĂ  ! c’est ainsi qu’elle Ă©tait dans tous mes rĂȘves, blanche, mĂ©lancolique et bienfaisante. C’est mon bien, Ă  moi, c’est elle qui doit m’abreuver de fĂ©licitĂ©s inconnues. » Et dĂ©jĂ  la vie physique que je venais de retrouver Ă©tait ton ouvrage, Car ce ne sont pas des circonstances vulgaires qui nous ont rĂ©unis, vois-tu ; ce n’est ni le hasard ni le caprice, c’est la fatalitĂ©, c’est la mort, qui m’ont ouvert les portes de cette vie nouvelle. C’est ton mari, c’est ton maĂźtre qui, obĂ©issant Ă  son destin, m’a apportĂ© tout sanglant dans sa main, et qui m’a jetĂ© Ă  tes pieds en te disant VoilĂ  pour vous. » Et maintenant, rien ne peut nous dĂ©sunir
 INDIANA, l’interrompt Lui, peut nous dĂ©sunir ! HĂ©las ! hĂ©las ! vous ne le connaissez pas ; c’est un homme qui ne pratique pas le pardon, un homme qu’on ne trompe pas. Raymon, il vous tuera !
 RAYMON Qu’il vienne, qu’il vienne m’arracher cet instant de bonheur ! Je le dĂ©fie ! Reste lĂ , Indiana, reste contre mon cƓur, c’est lĂ  ton refuge et ton abri. Aime-moi, et je serai invulnĂ©rable. Tu sais bien qu’il n’est pas au pouvoir de cet homme de me tuer ; j’ai dĂ©jĂ  Ă©tĂ© sans dĂ©fense exposĂ© Ă  ses coups. Mais toi, mon bon ange, tu planais sur moi, et tes ailes m’ont protĂ©gĂ©. Va, ne crains rien ; nous saurons bien dĂ©tourner sa colĂšre ; et maintenant, je n’ai pas mĂȘme peur pour toi, car je serai lĂ . Moi aussi, quand ce maĂźtre voudra t’opprimer, je te protĂ©gerai contre lui. Je t’arracherai, s’il le faut, Ă  sa loi cruelle. Veux-tu que je le tue ? Dis-moi que tu m’aimes, et je serai son meurtrier, si tu le condamnes Ă  mourir
 INDIANA Vous me faites frĂ©mir ; taisez-vous ! Si vous voulez tuer quelqu’un, tuez-moi ; car j’ai vĂ©cu tout un jour, et je ne dĂ©sire plus rien
 RAYMON Meurs donc, mais que ce soit de bonheur ! Raymon embrasse Indiana, elle porte la main au coeur et perd connaissance. Extrait d’Indiana de George Sand. N’oubliez pas qu’il est impossible de travailler un texte sans l’Ɠuvre complĂšte. Vous pouvez acheter le livre en ligne et le rĂ©cupĂ©rer dans la librairie la plus proche via ce lien Place des Libraires Indiana — Georges Sand → Voir aussi notre liste de textes et de scĂšnes issus du théùtre, du cinĂ©ma et de la littĂ©rature pour une audition, pour le travail ou pour le plaisir
TéléchargerPDF Lire en ligne. La Véritable histoire de «Elle et Lui», récemment publiée par M. le vicomte de Spoelberch de Lovenjoul 1, a rouvert de la façon la plus curieuse, entre Alfred de Musset et George Sand, un débat qui ne sera pas décidément clos, ni l'équitable jugement prononcé, avant la mise au plein jour des lettres échangées par ces amants illustres.
La liaison entre ces deux gĂ©ants littĂ©raires dura deux ans, et fut l’occasion d’une correspondance aussi fournie que savoureuse. La lettre de George Sand, en apparence innocente, est Ă  relire en ne tenant compte que d’une ligne sur deux. Pour la rĂ©ponse d’Alfred de Musset, elle est Ă  relire en ne prenant que le premier mot de chaque vers. GEORGE SAND Cher ami, Je suis toute Ă©mue de vous dire que j’ai bien compris l’autre jour que vous aviez toujours une envie folle de me faire danser. Je garde le souvenir de votre baiser et je voudrais bien que ce soit une preuve que je puisse ĂȘtre aimĂ©e par vous. Je suis prĂȘte Ă  montrer mon affection toute dĂ©sintĂ©ressĂ©e et sans cal- cul, et si vous voulez me voir ainsi vous dĂ©voiler, sans artifice, mon Ăąme toute nue, daignez me faire visite, nous causerons et en amis franchement je vous prouverai que je suis la femme sincĂšre, capable de vous offrir l’affection la plus profonde, comme la plus Ă©troite amitiĂ©, en un mot la meilleure Ă©pouse dont vous puissiez rĂȘver. Puisque votre Ăąme est libre, pensez que l’abandon ou je vis est bien long, bien dur et souvent bien insupportable. Mon chagrin est trop gros. Accourrez bien vite et venez me le faire oublier. À vous je veux me sou- mettre entiĂšrement. Votre poupĂ©e ALFRED DE MUSSET Quand je mets Ă  vos pieds un Ă©ternel hommage, Voulez-vous qu’un instant je change de visage ? Vous avez capturĂ© les sentiments d’un cƓur Que pour vous adorer forma le crĂ©ateur. Je vous chĂ©ris, amour, et ma plume en dĂ©lire Couche sur le papier ce que je n’ose dire. Avec soin de mes vers lisez les premiers mots, Vous saurez quel remĂšde apporter Ă  mes maux. 11 George Sand et Alfred de Musset. 11. George Sand et Alfred de Musset. « La postĂ©ritĂ© rĂ©pĂ©tera nos noms comme ceux de ces amants immortels qui n’en ont plus qu’un Ă  eux deux, comme RomĂ©o et Juliette, comme HĂ©loĂŻse et AbĂ©lard. » Alfred de Musset ne se trompait pas en Ă©crivant ces mots Ă  George Sand. Lettre envoyĂ©e par Aurore Dupin romanciĂšre francaise du XIXe siĂšcle, dite George SAND son nom de plume Ă  Alfred de MUSSET Ă©crivain francais. Cette lettre est authentique. A vous de dĂ©couvrir l’érotisme cachĂ©. Je suis trĂšs Ă©mue de vous dire que j’ai bien compris l’autre soir que vous aviez toujours une envie folle de me faire danser. Je garde le souvenir de votre baiser et je voudrais bien que ce soit lĂ  une preuve que je puisse ĂȘtre aimĂ©e par vous. Je suis prĂȘte Ă  vous montrer mon affection toute dĂ©sintĂ©ressĂ©e et sans cal- cul, et si vous voulez me voir aussi vous dĂ©voiler sans artifice mon Ăąme toute nue, venez me faire une visite. Nous causerons en amis, franchement. Je vous prouverai que je suis la femme sincĂšre, capable de vous offrir l’affection la plus profonde comme la plus Ă©troite amitiĂ©, en un mot la meilleure preuve que vous puissiez rĂȘver, puisque votre Ăąme est libre. Pensez que la solitude oĂč j’ha- bite est bien longue, bien dure et souvent difficile. Ainsi en y songeant j’ai l’ñme grosse. Accourez donc vite et venez me la faire oublier par l’amour oĂč je veux me mettre. NB Relisez-la en sautant les lignes paires George Sand 1835 ————————– Alfred de Musset Ă  Georges Sand Quand je vous jure, hĂ©las! un Ă©ternel hommage Voulez-vous qu’un instant je change de langage ? Vous seule possĂ©dez mon esprit et mon cƓur. Que ne puis-je pas avec vous goĂ»ter le vrai bonheur ! Je vous aime, ma belle, et ma plume en dĂ©lire Couche sur le papier ce que je n’ose dire Avec soin, de mes vers, lisez les premiers mots, Vous saurez quel remĂšde apporter Ă  mes maux. La rĂ©ponse de Georges Sand Cette grande faveur que votre ardeur rĂ©clame Nuit peut-ĂȘtre Ă  l’honneur, mais rĂ©pond Ă  ma flamme


Lettreà Alfred de Musset George Sand Lettre à Alfred de Musset Témoignage cocasse et coquin de sa brÚve aventure amoureuse avec l'écrivain entre 1833 et 1834. Lire cette oeuvre Lire plus tard Table des matiÚres (3 chapitres) Annonces à propos de cette oeuvre Flux RSS Aucune annonce à propos de cette oeuvre L'avis des lecteurs 7 aiment

Ah, l'amour ! Il donne des ailes, transporte les Ăąmes, brise les coeurs... Savourez cette sĂ©lection des plus belles lettres d'amour de l'Histoire et dĂ©couvrez les dĂ©clarations enflammĂ©es de Johnny Cash, Edith Piaf, George Sand ou encore celle d'Humphrey Bogart Ă  Lauren Baccall. 1- Lettre de Johnny Cash pour le 65e anniversaire de sa femme June Carter Cash 1994 Bon anniversaire Princesse,Nous vieillissons et nous sommes habituĂ©s l'un Ă  l'autre. Nous lisons nos pensĂ©es. Nous savons ce que l'autre veut sans mĂȘme avoir Ă  le demander. Parfois, nous nous agaçons un peu. Peut-ĂȘtre que parfois, nous nous prenons pour acquis. Mais de temps en temps, comme aujourd'hui, je rĂ©flĂ©chis et je rĂ©alise Ă  quel point je suis chanceux de partager ma vie avec la femme la plus formidable que j'aie jamais rencontrĂ©e. Tu continues Ă  me fasciner et Ă  m'inspirer. Tu es l'objet de mon dĂ©sir, la raison premiĂšre de mon existence. Je t'aime tellement. »2- Lettre d’amour d'Humphrey Bogart Ă  Lauren Bacall 1943 Baby, je t’aime si tendrement et je ne veux jamais, jamais te faire souffrir ou te rendre malheureuse, je veux que tu aies la vie la plus merveilleuse que mortelle ait jamais eue. Cela fait si longtemps, ma chĂ©rie, que je n’ai pas Ă©prouvĂ© un sentiment aussi profond pour quelqu’un, je ne sais pas quoi dire ni quoi faire. Je peux seulement t’affirmer que j’ai sondĂ© au plus profond de mon cƓur durant ces deux semaines et je sais que je t’adore de tout mon ĂȘtre et je sais que je te veux pour moi seul. Mais nous devons attendre, car tout ce que nous pourrions faire en ce moment provoquerait un dĂ©sastre. » 3- Napoleon Bonaparte dĂ©clame son amour Ă  JosĂ©phine de Beauharnais 1796 Les charmes de l'incomparable JosĂ©phine enflamme continuellement mon coeur d'une flamme ardente et lumineuse. »>>Saint-Valentin 2015 sĂ©lection de poĂšmes et de cartes pour dĂ©clarer son amour>Les 5 gestes qui prouvent qu’un homme est sous le charme<<8- Lettre de Victor Hugot Ă  l'actrice Juliette Drouet 1833 Je vous aime, mon pauvre ange, vous le savez bien, et pourtant vous voulez que je vous l’écrive. Vous avez raison. Il faut s’aimer, et puis il faut se le dire, et puis il faut se l’écrire, et puis il faut se baiser sur la bouche, sur les yeux, et ailleurs. Vous ĂȘtes ma Juliette bien-aimĂ©e. Quand je suis triste, je pense Ă  vous, comme l’hiver on pense au soleil, et quand je suis gai, je pense Ă  vous, comme en plein soleil on pense Ă  l’ombre. Vous voyez bien, Juliette, que je vous aime de toute mon Ăąme. Vous avez l’air jeune comme un enfant, et l’air sage comme une mĂšre aussi je vous enveloppe de tous ces amours-lĂ  Ă  la fois. Baisez-moi, belle Juju ! »9- Lettre d'amour de Guillaume Apollinaire Ă  la comtesse Louise de Coligny-ChĂątillon 1915 Oui, ma Lou, tu es ma Lou Ă  moi, ma chose vivante que j'aime infiniment, mon bijou prĂ©cieux, ma petite perle ronde comme ton derriĂšre, comme tes deux petits seins infiniment jolis et si joliment fleuris de deux roses sans Ă©pines. Tu te donnes toute et je te prends toute comme tu te donnes ma toute chĂ©rie, oui, nous sommes ensemble pour toujours oui, tu m'as tout dit, et tu es si Ă  moi et si en moi que tu devines tout de moi. Il y a une correspondance unique et inouĂŻe entre nos Ăąmes. Non, je n'ai plus de noir aprĂšs tes lettres et tu me rends infiniment heureux. Ne sois pas triste, mon Lou. Ne sois pas triste puisque je ne suis plus triste. »10- Lettre d'amour d'Edith Piaf Ă  Marcel Cerdan 1949 DĂšs que je pense qu'une chose peut te faire de la peine, mĂȘme si tu ne le sauras jamais eh bien, il n'y a rien Ă  faire, c'est plus fort que moi, je ne peux pas la faire. J'imagine tes beaux yeux chĂ©ris posĂ©s sur moi et j'ai comme l'impression d'ĂȘtre mise Ă  nu. Quelle puissance et quelle domination tu as sur moi !Vrai de vrai, tu m'as bien eue ! ChĂ©ri ! N'oublie pas tes mĂ©dailles, pense Ă  moi. Si tu peux aller Ă  l'Ă©glise cinq minutes le jour du combat, vas-y ! Mon petit que j'adore, Ă  tes pieds que j'aime, je suis Ă  toi, tout Ă  toi. Mon souffle est liĂ© au tien. Je suis tout ce que tu veux, ton esclave, ta servante, ta maĂźtresse et surtout celle qui t'aime. Oh ! Qui t'aime, plus que jamais. Personne ne t'a aimĂ© et ne t'aimera jamais plus que moi. Au revoir, mon petit maĂźtre adorĂ©, mon seigneur si grand. Je t'aime, t'aime, t' »
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voici une lettre que George Sand a envoyĂ©e a Alfred de Musset je suis trĂšs Ă©mue de vous dire que j'aibien compris l'autre soir que vous avieztoujours une envie folle de me fairedanser. je garde le souvenir de votrebaiser et je voudrais bien que ce soitlĂ  une preuve que je puisse ĂȘtre aimĂ©epar vous. je suis prĂȘte Ă  montrer monaffection toute dĂ©sintĂ©ressĂ©e et sans cal-cul, et si vous voulez me voir aussivous dĂ©voiler sans artifice mon Ăąmetoute nue, venez me faire une causerons en amis, vous prouverai que je suis la femmesincĂšre, capable de vous offrir l'affectionla plus profonde comme la plus Ă©troiteen amitiĂ©, en un mot la meilleur preuveque vous puissiez rĂȘver, puisque votreĂąme est libre. pensez que la solitude ou j'ha-bite est trĂšs longue, bien dure et souventdifficile. ainsi, en y songeant j'ai l'Ăąmegrosse. accourez donc vite et venez me lafaire oublier par l'amour ou je veux s'empressa de rĂ©pondrequand je mets Ă  vos pieds un Ă©ternel hommage,voulez vous qu'un instant je change de visage ?vous avez capturĂ© les sentiments d'un cœurque pour vous adorer forma le vous chĂ©ris, amour, et ma plume en dĂ©lirecouche sur le papier ce que je n'ose soin de mes vers lisez les premiers mots vous saurez quel remĂšde apporter Ă  mes mauxRomantique n'est ce pas?Maintenant relis la lettre de Sand une ligne sur deux...et les premiers mots de chaque ligne de celle de Musset tout ceci est authentique, comme quoi ils se marraient bien au XIX Ăšme siĂšcle!! Posted on Monday, 14 January 2008 at 308 AM
LETTRESA ALFRED DE MUSSET ET A SAINTE-BEUVE PDF, EPUB, EBOOK George Sand | 312 pages | 01 Jan 2014 | Book on Demand Ltd. | 9785518983311 | French | United States. Lettres a Alfred de Musset Et a Sainte-Beuve Livre PDF Offrez-vous un calendrier Calvendo qui reste beau tout au long de l'annĂ©e. Ce recueil est le miroir de la vie antĂ©rieure de l'auteur, un 27 Janvier 2013 George Sand Ă  Alfred de Musset Venise 15 avril et 17 avril 1834 J’étais au dĂ©sespoir. Enfin j’ai reçu ta lettre de GenĂšve. Oh que je t’en remercie mon enfant ! Qu’elle est bonne et qu’elle m’a fait du bien ! Est-ce vrai que tu n’es pas malade, que tu es fort, que tu ne souffres pas ? Je crains toujours que par affection, tu ne m’exagĂšres cette bonne santĂ©. Oh que Dieu te la donne et te la conserve, mon cher petit ! Cela est aussi nĂ©cessaire Ă  ma vie dĂ©sormais, que ton amitiĂ©. Sans l’une ou l’autre, je ne puis pas espĂ©rer un seul beau jour moi. Ne crois pas, ne crois pas, Alfred, que je puisse ĂȘtre heureuse avec l’idĂ©e d’avoir perdu ton cƓur. Que je t’aie inspirĂ© de l’amour ou de l’amitiĂ©, que j’ai Ă©tĂ© heureuse ou malheureuse avec toi, tout cela ne change rien Ă  l’état de mon Ăąme Ă  prĂ©sent. Je sais que je t’aime et c’est tout. [
] Je ne me souviens plus de rien, sinon que nous aurons Ă©tĂ© bien malheureux et que nous nous aimerons toute la vie avec le cƓur, avec l’intelligence, que nous tĂącherons par une affection sainte de nous guĂ©rir mutuellement du mal que nous avons souffert l’un pour l’autre, hĂ©las non ! ce n’était pas notre faute, nous suivions notre destinĂ©e, et nos caractĂšres plus Ăąpres, plus violents que ceux des autres, nous empĂȘchaient d’accepter la vie des amants ordinaires. Mais nous sommes nĂ©s pour nous connaĂźtre et pour nous aimer, sois-en sĂ»r.[...] Nous avons Ă©tĂ© amants, et nous nous connaissons jusqu'au fond de l'Ăąme, tant mieux. Quelle dĂ©couverte avons nous faite mutuellement qui puisse nous dĂ©goĂ»ter l'un de l'autre? Oh malheur Ă  nous si nous nous Ă©tions sĂ©parĂ©s dans un jour de colĂšre, sans nous comprendre, sans nous expliquer! C'est alors qu'une pensĂ©e odieuse eĂ»t empoisonnĂ©e notre vie entiĂšre, c'est alors que nous n'aurions jamais cru Ă  rien. Mais aurions-nous pu nous sĂ©parer ainsi? Ne l'avons-nous pas tentĂ© mlusieurs fois, nos coeurs enflammĂ©s d'orgueil et de ressentiment ne se brisaient -ils pas de douleur et de regret chaque fois que nous nous trouvions seuls?[...] Adieu, adieu, mon cher petit enfant. Ecris-moi bien souvent je t'en supplie. Oh que je voudrais te savoir arrivĂ© Ă  Paris et bien portant! Souviens-toi que tu m'as promis de te soigner. Adieu, mon Alfred, aime to, GEORGE. Tags LittĂ©rature
QueJ'aime le Premier Frisson. par Alfred de Musset. Sonnet. Que j'aime le premier frisson d'hiver ! le chaume, Sous le pied du chasseur, refusant de ployer ! Quand vient la pie aux champs que le foin vert embaume, Au fond du vieux chùteau s'éveille le foyer ; C'est le temps de la ville. - Oh ! lorsque l'an dernier,

L'an 1834. J'Ă©tais au dĂ©sespoir. Enfin j'ai reçu ta lettre de GenĂšve. Oh ! que je t'en remercie mon enfant ! Qu'elle est bonne et qu'elle m'a fait du bien. Est-ce bien vrai que tu n'es pas malade, que tu es fort, que tu ne souffres pas ? Je crains toujours que par affection, tu ne m'exagĂšres cette bonne santĂ©. Oh ! que dieu te la donne et te la conserve ! mon cher petit. Cela est aussi nĂ©cessaire Ă  ma vie dĂ©sormais que ton amitiĂ©. Sans l'une ou sans l'autre, je ne puis espĂ©rer un seul beau jour pour moi. Ne crois pas, ne crois pas, Alfred, que je puisse ĂȘtre heureuse avec la pensĂ©e d'avoir perdu ton cƓur. Que j'aie Ă©tĂ© ta maĂźtresse ou ta mĂšre, peu importe. Que je t'aie inspirĂ© de l'amour ou de l'amitiĂ© ; que j'aie Ă©tĂ© heureuse ou malheureuse avec toi, tout cela ne change rien Ă  l'Ă©tat de mon Ăąme Ă  prĂ©sent. Je sais que je t'aime et c'est tout... George Sand.

LETTRESDE GEORGE SAND A FRANÇOIS BULOZ 359 de me l'envoyer. Envoyez-le-moi tout de suite, je veux le faire lire Ă  Michel. L'article de Leroux est trĂšs bien et me plaĂźt beaucoup. Je lui sais grĂ© de traiter si mal M. de Voltaire et si bien mon divus Plato. GrĂące Ă  votre oubli je n'ai pu lire le 2e article de Didier sur l'Es­ pagne (1).
Actif Inscription Jul 2007 Messages 1532 Localisation Planete Terre.. 4em arrondissement.. 2em tour a gauche. voici une lettre que George Sand a envoyĂ©e a Alfred de Musset je suis trĂšs Ă©mue de vous dire que j'ai bien compris l'autre soir que vous aviez toujours une envie folle de me faire danser. je garde le souvenir de votre baiser et je voudrais bien que ce soit lĂ  une preuve que je puisse ĂȘtre aimĂ©e par vous. je suis prĂȘte Ă  montrer mon affection toute dĂ©sintĂ©ressĂ©e et sans cal- cul, et si vous voulez me voir aussi vous dĂ©voiler sans artifice mon Ăąme toute nue, venez me faire une visite. nous causerons en amis, franchement. je vous prouverai que je suis la femme sincĂšre, capable de vous offrir l'affection la plus profonde comme la plus Ă©troite en amitiĂ©, en un mot la meilleur preuve que vous puissiez rĂȘver, puisque votre Ăąme est libre. pensez que la solitude ou j'ha- bite est trĂšs longue, bien dure et souvent difficile. ainsi, en y songeant j'ai l'Ăąme grosse. accourez donc vite et venez me la faire oublier par l'amour ou je veux me mettre. Musset s'empressa de rĂ©pondre quand je mets Ă  vos pieds un Ă©ternel hommage, voulez vous qu'un instant je change de visage ? vous avez capturĂ© les sentiments d'un cƓur que pour vous adorer forma le crĂ©ateur. je vous chĂ©ris, amour, et ma plume en dĂ©lire couche sur le papier ce que je n'ose dire. avec soin de mes vers lisez les premiers mots vous saurez quel remĂšde apporter Ă  mes maux Romantique n'est ce pas? Maintenant relis la lettre de Sand une ligne sur deux...et les premiers mots de chaque ligne de celle de Musset tout ceci est authentique, comme quoi ils se marraient bien au XIX Ăšme siĂšcle!! ConfirmĂ© Inscription Apr 2007 Messages 683 Localisation Dans un cĂ©notaphe Pourquoi se parlent-ils avec des messages codĂ©s? En rĂ©alitĂ©, le niveau de cryptage est bas ce qui montre que mĂȘme si on interceptait 'par satellitetong' leurs lettres, on va pas les comprendre. ça peut rĂ©vĂ©ler que cette technique etait une ingeniositĂ© au top de l'intelligence, c'est facile de s'apercevoir qu'en sautant une ligne, le message devient une connerie. J'ai pensĂ© une fois Ă  une technique rĂ©cente de communication discrete, eh bien, qqn ecrit un message avec des fautes d'orthographes, les lettres qui manquent constitueront un message plus ingenieux. Comment Actif Inscription Jul 2007 Messages 1532 Localisation Planete Terre.. 4em arrondissement.. 2em tour a gauche. we je peux imaginer a quel point on se prenais pour des genies de cryptages rien que pcq on peut ecrire des msg codes com celui la! mais loin de toute critiques de la technique.. je trouve que c tres bien ecrit, et tre drole mm. pour ta techniq de cryptage.. elle sera pas difficile de a dechifrer sauf que la run in hole stucks there. and it is what hey ultra v un truc de fou vient de marriver. jetais en train decrire ce poste et voila que 3inaya ghfet pr un instant, je rentre deja dans un cycle de someil, je commence mm a rever, le plus marrant c que jai continu a ecrire.. je sais mm pas combien de temps je suis rester dans cet etat.. mais c la 1ere fois que ca marrive! aya bnsoiree nnes lkol jen peut pli bye Comment Actif Inscription Oct 2005 Messages 1916 Localisation Lyon;Tunis .... hi!!! bons les gars je trouve que le poĂ©me est trĂ©s jolie mais je pense pas que le codage sois rĂ©ellement eux qu'ils l'ont fais!!!vous etes bien sures que c'est voulu?!! EN TOUT CAS G BIEN RIGOLĂ©e!!!tong ps si c faux les pauvres ils doivent se retournĂ©s ds leurs tombes!!! Comment Nouveau Inscription Oct 2007 Messages 40 Localisation Garges les Gonesse Ah l'humeur grivois de nos amiEs gaulois me fera toujours aussi dĂ©lirer! Comment FidĂšle Inscription Aug 2007 Messages 5137 Localisation Bonheurland Si, c'est vĂ©ridique, on a appris ces lettres quand j'Ă©tais au collĂšge avec le prof de français ! Comment Actif Inscription Oct 2007 Messages 1256 Localisation Tunis EnvoyĂ© par Douce Voir le message Si, c'est vĂ©ridique, on a appris ces lettres quand j'Ă©tais au collĂšge avec le prof de français ! eh bien oui les deux lettres appartenaient bel et bien aux deux poĂštes citĂ©s ,connus par leurs folles amours Ils n'avaient pas seulement ces deux lettres "Ă©rotiques Ă  leur actif" beaucoup d'autres lettres sont listĂ©es je continue avec la reponse de G sand Ă  la question de Musset "quand voulez vous que je couche avec vous? Cette insigne faveur que votre coeur rĂ©clame Nuit Ă  ma renommĂ©e et rĂ©pugne Ă  mon Ăąme. littĂ©rairement votre! Comment Actif Inscription Nov 2006 Messages 2298 Localisation chebba ya 3omri Comment Nouveau Inscription Oct 2007 Messages 27 bon c particulier mĂ© d'ab c toi qui l'a Ă©crit ou tu la trouver qque part??? Ù†Ű­Ù† قوم ŰŁŰčŰČÙ†Ű§ Ű§Ù„Ù„Ù‡ ŰšŰ§Ù„Ű„ŰłÙ„Ű§Ù…ŰŒ ÙŰ„Ù† ۧۚŰȘŰșÙŠÙ†Ű§ Ű§Ù„ŰčŰČŰ© ŰšŰșÙŠŰ± Ű§Ù„Ű„ŰłÙ„Ű§Ù… ŰŁŰ°Ù„Ù†Ű§ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Comment Utilisateur exclu Inscription Sep 2007 Messages 364 Localisation charente maritime [quote=Aphrodite;323485]bon c particulier mĂ© d'ab c toi qui l'a Ă©crit ou tu la trouver qque part??? Moi?.......Mais non aphrodite voyons c georges sand a alfred musset Comment Utilisateur exclu Inscription Sep 2007 Messages 364 Localisation charente maritime UNE AUTRE POUR LES AMATEURSTRICES QUAND je mets Ă  vos pieds un Ă©ternel hommage, VOULEZ-vous qu'un instant je change de visage ? VOUS avez capturĂ© les sentiments d'un coeur QUE pour vous adorer forma le crĂ©ateur. JE vous chĂ©ris, amour, et ma plume en dĂ©lire COUCHE sur le papier ce que je n'ose dire. AVEC soin de mes vers lisez les premiers mots VOUS saurez quel remĂšde apporter Ă  mes maux. Alfred de Musset CETTE insigne faveur que votre coeur rĂ©clame NUIT Ă  ma renommĂ©e et rĂ©pugne Ă  mon Ăąme. George Sand seconde lecture lire uniquement les premiers mots de chaque vers Comment ConfirmĂ© Inscription Aug 2007 Messages 964 quand on passe du spirituel au physique c vraiment choquant mais c bo qd mĂȘmetong Comment FidĂšle Inscription Feb 2006 Messages 2549 Localisation Lille et Tunis Chouette des GROS MOTS Laule en meme temps pas etonnant venant de Sand une femme assez "virile" Chopin s'est bien laissĂ© faire Comment Utilisateur exclu Inscription Sep 2007 Messages 364 Localisation charente maritime EnvoyĂ© par elmouldi Voir le message Laule en meme temps pas etonnant venant de Sand une femme assez "virile" Chopin s'est bien laissĂ© faire Si Elmouldi, de musset n'a fait qu'investir un terrain fertile abandonnĂ© par ses occupants, en effet chopin Ă©tait malade tuberculose pulmonaire qui l'emporta quelques annĂ©es plus tard, et bien avant, n'avait d'autres desseins que de se faire materner par sand, dont il est loin d'etre le monsieur qui allais temperer les ardeurs de la "virile" jeune fille, il faut prĂ©ciser qu'il avait eu une certaine aversion pour cette fille au tout dĂ©but de leurs premiĂšres rencontre en 1836, confidence qu'il avouat a son ami Hiller, ce fut son contemporain qui s'acquittat de la tĂąche, et par consĂ©quent, frĂ©derique françois chopin ne s'est pas laissĂ© faire mais bel et bien laisser faire. P/S le contenu de la lettre si haut postĂ©e a Ă©tĂ© adressĂ© en premier a chopin, ce dernier se dĂ©sista, elle fĂ»t rééxpĂ©diĂ©e vers musset. Comment Utilisateur exclu Inscription Sep 2007 Messages 364 Localisation charente maritime EnvoyĂ© par lagazania Voir le message quand on passe du spirituel au physique c vraiment choquant mais c bo qd mĂȘmetong ben je ne vois pas ou est le cotĂ© spirituel que tu semble dĂ©celer dans le texte, pas vrai el mouldi? A moins que t'a fais une autre lecture que j'ignore les secrets , genre de bas en haut et de droite a gauche............tong Comment
KFVSI.
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